Le 23 mars 2013, un militant de la CNT a été condamné à 40 000 € de dommage et intérêt pour avoir bloqué la gare de Metz lors d’une manifestation durant le mouvement anti-CPE de 2006.
Cette condamnation, au-delà d’être injuste dans la mesure où elle fait porter à un seul individu (peut-être pas si pioché au hasard... !?) la responsabilité d’une décision collective mise en œuvre par 800 personnes, est également un signal fort envoyé au mouvement social. Malgré les interventions syndicales, le président de la SNCF s’entête à vouloir faire condamner notre camarade.
Le syndicalisme et les mouvements sociaux sont légitimes. Refusons la criminalisation des luttes !
Rendez vous vendredi 12 septembre à 17h devant la gare Matabiau.
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