Alors qu’elle était prévue depuis des mois, la marche contre le racisme du dimanche 21 avril vient d’être interdite par la préfecture de Paris. Le collectif Tsedek ! dénonce cette nouvelle attaque contre la liberté d’expression et appelle à la solidarité avec les organisatrices de la marche.
Racisme - colonialisme
Six mois de génocide et le monde se tait !
Six mois que cette tuerie est perpétrée avec la complicité des gouvernements occidentaux et la connivence de nos médias. Six mois qu’une immonde puissance coloniale tente d’éradiquer un peuple et amoncelle les cadavres. En six mois, plus de 33000 humains (auxquels il faudrait rajouter plus de 10000 disparu.es), dont près de la moitié d’enfants, ont été assassinés avec des armes fournies par nos prétendues démocraties.
Pourquoi les sionistes progressistes ne mettent-ils pas la justice au centre de leurs préoccupations ?
Raphaël Mimoun est juif franco-américain, militant des droits humains. Ce billet fait partie d’une série publiée sur son blog One Small Detail, où il partage ses analyses sur le sionisme et le conflit israélo-palestinien basées sur son vécu dans la communauté juive en France et en Israël. Le premier texte de cette série est à lire ici.
Génocide à Gaza : Gideon Levy et Amira Hass, ces journalistes qui osent dénoncer la barbarie et le fascisme de leur pays
A contre-courant de la propagande israélienne, ces deux journalistes vivant en Israël sont les rares personnes à s’opposer à la politique consensuelle de la société israélienne, qui s’enfonce de plus en plus dans le fascisme. Leur analyse du génocide de Gaza devrait interpeller les médias occidentaux, scotchés sur la propagande israélienne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Amira_Hass
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gideon_Levy
L’actu des Oublié.es • S4 EP13 • ¡ No a la Mineria ! , Partie 1
Tous les deux lundis, l’Actu des Oublié.es revient sur une lutte dans le monde. Cette semaine, cap au Panama où le peuple s’est soulevé contre un projet minier.
Des parachutages humiliants sur Gaza ou le théâtre de l’aide humanitaire
Ce qui est présenté comme une aide bénévole n’est rien d’autre qu’un théâtre de l’aide humanitaire qui ne contribue aucunement à mettre un terme à la campagne systématique et intentionnelle de famine qu’Israël et ses alliés américains et européens mènent contre les Palestiniens, avec la complicité des régimes de la région.
Des Palestiniens en quête de nourriture sont massacrés alors qu’Israël affame Gaza
Le ministère palestinien de la santé à Gaza a déclaré que, ce jeudi, à Gaza même, 112 Palestiniens avaient été tués et 760 autres blessés après que les forces israéliennes avaient ouvert le feu sur des gens qui s’étaient rassemblés pour recevoir de l’aide alimentaire.
L’incident – qualifié de « Massacre des sacs de farine » – est l’un des plus meurtriers des quatre mois et demi sanglants qui se sont écoulés à Gaza, au moment où, jeudi, le nombre de morts a franchi le cap des 30 000. Le (...)
Mise au point : antisémitisme, irresponsabilité, l’UJFP répond à ses détracteurs
L’UJFP répond aux attaques incessantes sur les réseaux sociaux de soi-disant anti-racistes de l’extrême droite à l’extrême gauche qui ne trouvent rien de plus urgent en cette période de génocide que faire TAIRE toute solidarité avec la Palestine.
Quand l’Occident punit collectivement Gaza en suspendant le financement de l’UNRWA
L’UNWRA (l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine au Proche-Orient), principal canal humanitaire vers Gaza, voit certains de ses employés soupçonnés d’avoir pris part aux massacres du 7 octobre. L’UNRWA a annoncé avoir « immédiatement résilié » les contrats des salariés identifiés et ouvert une enquête pour « établir la vérité sans délai ».1 En réponse, les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Australie, la Finlande et les Pays-Bas ont décidé de suspendre leur financement. Voici la traduction d’un article de la journaliste Amira Haas, paru dans Haaretz le 4 février 2024.
2000 personnes manifestent pour la libération de Georges Abdallah devant la prison de Lannemezan
Appelée par de très nombreuses organisations politiques, associatives et syndicales, c’est finalement 2000 personnes qui ont rejoint la manifestation pour la libération de Georges Abdallah jusqu’aux portes de la prison de Lannemezan. Celle-ci était exceptionnellement organisée ce samedi 6 avril suite à la répression qui avait touché la manifestation précédente en octobre dernier. Et ce fut bel et bien un succès collectif !